En 2005 je publiais un premier article sur le sujet. Amené à ré-intervenir à ce propos, je constate qu’on peut aborder le thème sous un angle différent. Il me semble difficile de synthétiser les deux articles, que je publie donc côte à côte.
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Pratiquer la médecine gériatrique, c’est se confronter tous les jours avec des humains qui vivent leurs derniers temps. On ne peut pas faire ce métier sans se questionner, non seulement sur la mort mais plus largement sur le sens même de l’existence.
Que valent ces réflexions ? Je ne sais pas. En voici quelques-unes, juste pour les partager.
La réaction aux projets d’évolution des services de long séjour s’organise.
Parmi les actions récentes voir :
La pétition "Non à la démédicalisation de la prise en charge des personnes agées dépendantes", sur http://vieillirdigne.net
La pétition de l’association SOSLD, à suivre sur http://www.geocities.com/bpradines/SOSLD.html
L’existence des unités de soins de longue durée (service de long séjour) est fortement remis en cause.
Cette évolution, qui est dictée par le seul souci de limiter les dépenses, est une grande source d’inquiétude.
Le docteur Bernard Pradines, responsable du service de long séjour du Centre Hospitalier d’Albi prend une inititative qui appelle le plus large soutien.
Voir sa position à l’adresse ci-dessous
Voir en ligne : Plaidoyer pour le maintien des longs séjours
Les jeunes sont dans la rue.
Ils sont dans la rue parce que notre génération se contente un peu facilement de ne leur proposer qu’un avenir précaire, et de les faire lanterner à la porte de la société.
C’est bien imprudent.
Car ces jeunes finiront par avoir notre âge. Et par conquérir le pouvoir.
Sommes-nous bien certains que notre comportement actuel est de nature à leur cheviller au corps l’envie de nous payer nos retraites ?
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En 2005 je publiais un premier article sur le sujet. Amené à ré-intervenir à ce propos, je constate qu’on peut aborder le thème sous un angle différent. Il me semble difficile de synthétiser les deux articles, que je publie donc côte à côte.
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Pourquoi le sentiment de culpabilité est-il si répandu parmi les enfants et les proches de malades ou de personnes âgées ? Le moyen le plus simple de répondre à cette question est sans doute d’en rechercher l’origine. Celle-ci se trouve facilement si on se reporte à ce que l’on sait de l’évolution du (...)
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Un petit texte rédigé pour la formation des soignants et des bénévoles
Le droit au suicide.
Nous avons analysé la question de la fin de vie et de l’euthanasie. Il nous faut examiner si cela nécessite que soient traitées les questions : de l’information du patient ; de l’aide au suicide ; du suicide ; de l’alternative au suicide.
1. L’information du patient
Le géomètre (...)
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Au cours de l’année dernière, j’ai eu l’occasion d’échanger avec un lecteur, à propos de divers articles de mon site, puis plus particulièrement du sujet de l’euthanasie.
Il s’est attaché à comprendre le problème dans plusieurs de ses dimensions.
Nous avons continué à échanger en vue de clarifier nos conceptions respectives. Voici le résultat de ces échanges, essentiellement rédigés par mon correspondant qui a choisi de se nommer "Le géomètre".
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Longtemps les textes régissant la protection juridique des personnes âgées ont été totalement inadaptés. Qu’en et-il à présent ?
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Quelques notes sur l’opportunité des régimes en gériatrie
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Je relaie ici une pétition qui m’a été adressée. Elle est proposée par le réseau Palliaquitaine, association bordelaise qui semble faire du bon travail.
Il est indiscutable que la situation des soins palliatifs à domicile n’est pas bonne, et que leur développement devrait être une priorité. J’ai donc signé cette pétition.