Il y a 3 points qui m’ennuient :
Le rapport pourrait être défavorable en effet si la sédation profonde réversible avait des effets négatifs durables. Cependant, on voit mal comment la situation pourrait s’arranger pour quelqu’un qui ne dort plus, pris dans un cercle de confusion et d’angoisse.
Mais sI la sédation présente un mauvaus rapport bénéfice/risque dans le cas de souffrance, d’angoisse et de confusion qui en résulte, comment ambitionner de préserver le confort du malade ?
A fortiori, comment concevoir la sédation comme la solution aux souffrances qui font souhaiter d’en finir ?