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Prise en charge des fausses routes en gériatrie

Cher Michel
Bonsoir
Cela fait longtemps et je lis vous toujours avec intérêt
Je me pose un question : les fausses routes sont elles annonciatrices de la fin de vie ?
La soeur de ma mère est en EHPAD depuis bientôt huit ans. Alzheimer et très vite mutique et les yeux fermés ou regardant l’air.
Morphine en patch et nourriture texturée.
La gériatre a prévenu son mari : elle décline fort.Elle ne passera pas Noël Deux jours après : elle a cessé de s’alimenter. Au quatrième jour elle a remangé mais a fini par une fausse route. Elle devait crever de faim !?
Je me pose la question : la fausse route peut-elle générer de la douleur et / ou de l’angoisse de la douleur qui fait que la personne malade redoute et refuse de manger. Alors elle meurt de faim. Alors elle remange quand elle n’en peut plus d’avoir faim.
Je me dis que la fin de vie, le passage -en ehpad ou à l’hopital_ est une periode très anxiogène pour la personne qui va partir et que ce devrait un débat plus poussé qu’une simple loi Léonetti
Mais personne n’a le temps
Dans le cas de ma tante elle réside loin et je ne peux être près d’elle, et cela me rend malade et me révolte.
Bien à vous cher Michel, je pense si souvent à notre amie regrettée Mo
Alexandra

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