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En réponse à :

> La méthode Gineste-Marescotti

, par Desbois

La méthode G-M apparaît comme un moyen supplémentaire de remettre en cause l’expérience des hospitaliers, par des méthodes empruntées à d’autres en plus, je ne sais pas encore si une secte (probablement rattachée à la Scientologie) est derrière mais la façade est plus une affaire commerciale qu’autre chose, et, les copyrights sur des termes comme "La philosophie de l’humanitude" sont assez probants...
On est loin de Coluche, ou de l’Abbé Pierre, mais plus près du marché (...)...
Il serait temps de s’intéresser aux vrais travaux réalisés par des professionnels scrupuleux (Docteur Mias etc) et prendre en considération de le mot humanitude a été utilisé pour la première fois, en Suisse, en 1980 par Klolfenstein.
L’humanitude doit faire place à l’humanité, l’humanité n’est pas une espèce, l’espèce est humaine avant tout (utilisons les mots correctement).
Ceci écrit, le "prendre soin" quel terme ridicule, c’est vraiment à l’image de la société actuelle. Un peu plus de compassion, un peu moins de protocoles, et, les soignants plus responsables ne s’en porteront que mieux, et, si les soignants ont des moyens suffisants ils sont capables d’assurer un travail exemplaire, ils sont formés dans ce but à ma connaissance.
Alors la méthode GM est ce qu’elle est, le temps permettra de démontrer certaines choses, pour le moment laissons venir...Alors cette "méthode", secte, opportunisme affairiste ou supercherie ce ne sera pas à moi d’en conclure, mais sa place au sein du milieu hospitalier apparaît de plus en plus comme un dérivé des soins de confort par le toucher principalement , compte tenu des connaissances des soignants nous pourrions penser à une dérive des soins de confort.

La souffrance revêt différentes formes pour ceux qui sont en fin de vie, ils ont le droit à la paix, le droit d’être respectés, de ne pas subir, en fait d’être soignés comme il se doit mais pour ce faire l’établissement doit avoir le personnel en nombre et les spécialistes nécessaires (agents hospitaliers, aides-soignantes, infirmières, kinésithérapeutes, psychologues etc) l’hôpital n’est pas un théâtre.

Desbois Laure

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