Bonsoir, Katia.
Alors il s’agissait sans doute, non pas d’un râle agonique, mais d’un encombrement.
C’est beaucoup plus difficile à traiter, et en général on n’y arrive pas. La seule chose vraiment efficace est la morphine, qu’il suffit de donner à doses souvent infimes. C’est ce qui a été fait, et cela me fait penser :
Que l’équipe soignante connaissait son affaire, car elle a pris la bonne décision.
Qu’elle a débuté ce traitement plus tôt qu’à la toute fin, car c’est sans doute la morphine qui a permis de régulariser la respiration.
Tout cela me rassure : il est infiniment probable que cette prise en charge a été conforme aux règles de l’art. Dans ces conditions, il est infiniment probable que le malade n’a pas perçu sa gêne respiratoire. Et c’est cela, après tout, qui compte...
Bien à vous,
M.C.