Alors s’il était inconscient, il n’y avait certainement pas lieu de forcer sur la morphine ; je ne dis pas qu’il n’en fallait pas du tout : il est d’usage, même chez le malade comateux, de ne pas trop baisser la garde. Mais des doses massives n’avaient certainement aucune indication.
Merci de votre prudence quant à l’utilisation de mes propos. Mais ne vous sentez pas lié par cet engagement : ce qui est sur Internet est totalement public, et les seules réserves d’utilisation sont celles de la courtoisie, qui imposent de citer ses sources et de ne pas les déformer...
Bien à vous,
M.C.