Bonsoir, Françoise.
Vous n’imaginez probablement pas combien votre message me touche.
La tâche que j’essaie d’accomplir ici est particulièrement angoissante : donner des avis à des gens que je n’ai jamais vus à propos de situations dont je ne sais rien. Autant dire que c’est de la folie.
Alors si vous avez pu trouver dans ces pages un peu de réconfort, c’est un très beau cadeau que vous me faites en me le disant.
J’ajouterais juste un mot : j’ai rencontré beaucoup de médecins comme cela ; il est vrai qu’ils ne sont pas assez fous pour en parler sur le net…
Il vous reste, mais vous le savez, à traverser votre deuil, et je sais combien c’est dur. Vous trouverez une aide puissante dans la certitude, que vous pouvez avoir sans qu’on vous la conteste, que vous avez réussi à accompagner votre père jusqu’au bout, et en lui donnant tout ce que vous aviez.
Bien à vous,
M.C.