Bonjour, Dom, et bonne année à vous aussi.
J’ai corrigé la coquille, en effet.
Sur votre seconde remarque,je dirais que d’un côté vous avez raison, mais que d’un autre tout le problème est justement d’interpréter ce qui est en train de se passer. Le dénigrement si fréquent de l’action des soignants pourrait faire partie de la nouvelle liturgie de la mort, pas si éloignée de ce que nous racontent les ethnologues, notamment sur le statut ambivalent du sorcier ou du chaman, tout à la fois révérés, craints et méprisés. C’est tout le sens de ce que j’ai voulu écrire : ce qui se passe aux Urgences n’a rien à voir avec la réalité, les Urgences sont aussi un lieu d’élaboration symbolique du mourir. Ce serait passionnant.
Bien à vous,
M.C.